Mildred Munjunga
Zambia
Vivant en Zambie et membre du réseau Jeunesse de la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, Mildred Munjunga est bénévole et membre de l'équipe nationale d'intervention en cas de catastrophe (NDRT). En matière de systèmes alimentaires, elle s'est engagée pour que les familles vulnérables aient accès à une nourriture saine et suffisante avant et après les catastrophes, en mettant en oeuvre des mesures de soutien aux moyens de subsistance et de distribution de nourriture, d'articles non alimentaires ou d'argent. Pour ce faire, Mildred a suivi des formations dans le cadre de la NDRT.
Mildred s'intéresse notamment à l'insécurité alimentaire, que ce soit au niveau communautaire, national, régional ou mondial, laquelle relève de bien des facteurs, dont les risques climatiques tels que les sécheresses et les inondations. D'autres risques tels que les infestations de ravageurs (chenilles légionnaires et criquets) et les épidémies comme la Covid-19, associés à des niveaux de pauvreté élevés, ont un impact négatif sur la production, l'accessibilité et la disponibilité de l'alimentation. Il est possible d'améliorer cette situation en mécanisant le secteur agricole, en permettant aux petits agriculteurs de bénéficier de systèmes d'irrigation afin de produire toute l'année (bel avantage comparatif face aux cultures pluviales), en diversifiant l'agriculture (petit, moyen et gros bétail, aquaculture, jardinage, cultures vivrières, horticulture, apiculture), et en formant les paysans en matière d'agriculture adaptée au climat, de regroupement des producteurs et de développement de filières agricoles.
Son raisonnement est simple : une nutrition adéquate permet de réduire la pauvreté et d'atteindre l'objectif de développement durable n° 4 ; une consommation durable permet de réduire le gaspillage et la pollution, tandis que la modification de l'agriculture permet de réduire son impact environnemental et la perte de biodiversité.
Mildred s'intéresse notamment à l'insécurité alimentaire, que ce soit au niveau communautaire, national, régional ou mondial, laquelle relève de bien des facteurs, dont les risques climatiques tels que les sécheresses et les inondations. D'autres risques tels que les infestations de ravageurs (chenilles légionnaires et criquets) et les épidémies comme la Covid-19, associés à des niveaux de pauvreté élevés, ont un impact négatif sur la production, l'accessibilité et la disponibilité de l'alimentation. Il est possible d'améliorer cette situation en mécanisant le secteur agricole, en permettant aux petits agriculteurs de bénéficier de systèmes d'irrigation afin de produire toute l'année (bel avantage comparatif face aux cultures pluviales), en diversifiant l'agriculture (petit, moyen et gros bétail, aquaculture, jardinage, cultures vivrières, horticulture, apiculture), et en formant les paysans en matière d'agriculture adaptée au climat, de regroupement des producteurs et de développement de filières agricoles.
Son raisonnement est simple : une nutrition adéquate permet de réduire la pauvreté et d'atteindre l'objectif de développement durable n° 4 ; une consommation durable permet de réduire le gaspillage et la pollution, tandis que la modification de l'agriculture permet de réduire son impact environnemental et la perte de biodiversité.
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Nous avons le pouvoir d'agir par nous-mêmes et le droit d'exiger une action urgente et à grande échelle de la part des décideurs, des gouvernements et des entreprises, afin de vaincre la faim, de fournir à tous une alimentation saine et d'améliorer la santé de notre planète. #ACT4FOOD #ACT4CHANGE